[Sud Quotidien]A L'hôpital Abass Ndao les jours se suivent et se ressemblent. Le retard de paiement des salaires et des primes, les mauvaises conditions de travail, les conflits latents entre personnels et la direction, ne trouvent toujours pas de solution. Face à cette situation alarmante, le Sames s'est de nouveau radicalisé hier en lançant un mot d'ordre de 48 heures.
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